Janvier

Serge Girard, 

Florence Lebey,

Marie-Lorraine Papelier, Erik de St Pierre, 

Magali Rasplus Gay

et Anita Voloir.

Les 6 associés de la p'tite galerie squattent une nouvelle fois leurs murs afin de vous faire partager leurs émotions. Des embruns iodés à la sécheresse de la savane aux échos gypsies jusqu'aux couleurs de Murano...

 

Février

Marie-Hélène Vaucher est née en 1967.

Ses premières œuvres représentent des paysages, des fleurs. Mais inspirée par Claude Monnet elle se tourne vers l'improvisation et l'abstrait. Ses outils se multiplient, la spatule, le couteau, l'éponge ; sa méthode s'affirme. Les matières et incrustations, le collage sur acrylique et le Liner 3D lui apportent une grande liberté picturale par sa modernité.

 

Mars

Katrin et JIPEG.

Katrin est d’origine Franco-Tchèque. Professeur de danse en Normandie pendant 25 ans c’est tout naturellement qu’elle se tourne vers la photographie.
Autodidacte, ses influences slaves la poussent au souvenir et à la mélancolie , sans toutefois oublier son humour normand.
Jipeg est informaticien de formation et photographe dans l'âme.
Il s'est tout d'abord mis au portrait en argentique.
 C’est ce regard qui l’attire vers l’objet, et l'abstraction au sens où l’on sépare ou isole certains caractères de ce que l’on voit. Ce qu'il préfère c'est le brut de fonderie...

 

Avril

Dezem et Didier Lebas.

Dezem (Marie Masson) est attiréé dès ses jeunes années par le dessin, la couleur et la poésie.
Une autre tranche de vie arrive oùelle se lancedans la peinture sur soie, où je réalise quelques grand formats animés de couleurs tellement fortes.

C'est après qu'elle change de support pour peindre sur bois à la peinture acrylique.

L’émotion qui l’emmène vers une création, qui commence sans projet conscient, seulement menée par une urgence, vers une oeuvre plus ou moins abstraite.

Didier Lebas est originaire d’une famille d’agriculteur du Calvados. Il découvre la forge en 1973. Dans sa sculpture, il donne à voir des pièces brutes, aux formes convulsées et abstraites.

Ses œuvres sont une recherche d’équilibre constante : la lourdeur du métal côtoie la légèreté de la forme. Outre la poésie qu’il instille dans ses sculptures, c’est également le geste qu’il veut transmettre. En montrant ses oeuvres, il donne à voir la richesse  des gestes et du matériau.               

 

Mai

Yvonne Lasky,
débute une formation d’aquarelle, puis de modèle vivant dans l’atelier Mathieu à Paris. Elle commence la peinture à l’huile et l'acrylique aux ateliers des beaux arts de Paris, et aux arts plastiques à l’école Duperre.
Fascinée par la lumière  et  la transparence qu’elle explore dans des vies de création plus personnelle avec la fusion du verre, le plexiglas et l’image numériqu, ces  dernières  années elle décline le mot « transparence » dans l’art de la laque et ses multiples richesses de  pigments  minéraux, poudre  métalliques, vernis qui  couche   après couche révèle la profondeur de l’œuvre.       

 

Juin

Joël Krzewina et Jacques Thuillier

Mariage réussi entre une peinture tout en force et en sensibilité et une sculpture alliant des matériaux qui s'opposent et s'allient à la fois. L'antinomie crée l'harmonie. " Je pars d’une couleur, d’une forme, je la travaille avec un improvisation pour la composition. L’essentiel c’est d’émouvoir. " Ainsi s'exprime Joël. Pour Jacques quant à lui, " Poser des personnages sur des structures, regarder, écouter, imaginer le temps qui passe... ".

Si la forme diffère, les 2 artistes se rejoignent sur l'intention, pour notre plus grand plaisir

Juillet

Marylise Jozan

En Argentine où elle réside à 20 ans, elle travaille avec le peintre Jorge Demejian, une rencontre déterminante qui,  grâce à la liberté du dessin et la compréhension de la couleur,  va lui faire découvrir l’expression de l’instant. Au Canada pendant une dizaine d’années, elle est fascinée par l’espace et les lumières rasantes.  En Normandie,  elle acquiert  la précision de la couleur. Cette année, Marylise Jozan nous propose des œuvres sur son thème préféré la Musique et la Danse.

 

Août

Les galeristes sont

de retour !

Une fois n'est pas coutume, lles associés de La p'tite galerie ont décidé de passer la moitié de l'été dans leurs murs. Des nouvelles œuvres et toujours un bon esprit et une osmose parfaite.

 

Septembre

Ludovic Barberay

Autodidacte, il s'est formé par l’observation, et l’étude des maîtres. L’huile sera sa matière préférée.

Fortement marqué par les paysagistes Néerlandais du 17e au 19e siècle ; il se rend régulièrement aux Pays-bas pour trouver l’atmosphère qui illuminera ses futures toiles. Attiré pas ce pays, il a appris la langue de nos voisins Bataves pour communiquer plus facilement et comprendre l'histoire ; l'origine ; et l'évolution des peintres du plat pays.

 

Octobre

Valérie Marsiliani et Philippe Halevy

Institutrice à Pont-Audemer, cette artiste se joue des codes et des conventions pour nous amener exactement où elle l'a décidé : dans le monde qu'elle s'est fabriqué entre humour, tendresse et dérision.
Philippe Halévy revient vers nous avec ce qu’il appelle “ses paysages intérieurs”  Mer, terre, ciel… Intérieurs car aucun n'est réalisé d’après nature mais recréé à partir d’émotions produites par le brassage  des formes, des couleurs et des lumières qui s’accumulent et s’entremêlent.

 

Novembre

1er Salon des p'tits formats

Ce ne sont pas moins de 42 artistes qui exposent à ce premier salon.

Le challenge : exposer 3 œuvres (peinture, photographie et sculpture) pendant 1 mois. Diversité et eclectisme assurés !

Au vu du succès de cet événement et grâce aux nouveaux locaux de

La p'tite galerie 13, l'expérience se renouvellera...

 

Décembre

José Chiés

José Chiés est un photographe de nature passionné, originaire du bocage Avesnois des hauts de France.

Il propose des images pour la plupart réalisées avec des objectifs anciens.

Il ne cherche pas la netteté chirurgicale, il est dans l’intuition, le subjectif, le flou…

C’est une approche expressive et poétique. Il suggère, cherche à transmettre des émotions et raisonne en masses colorées : couleur, lumière, halos, lignes de constructions apparaissent dans des cadrages décalés.

Il cherche à obtenir un « bokeh » (flou d’arrière plan) offrant une dimension esthétique, un dégradé harmonieux de la zone de netteté.

Du rêve à l’état pur. 

Les photographies exposées sont des tirages encadrés sur papier Fine Art 100% coton offrant une profondeur d’image impressionnante. 

 

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© Erik de St Pierre / 02 2015